La salle n'est pas encore plongée dans le noir que sonnent déjà des coups rythmés et inquiétants venus d'on ne sait où. Ce ne sont pas les trois coups du théâtre, c'est un rythme ensorcelant qui nous entoure, nous encercle, frappé sans coup férir sur un tambourin par le comédien Lionel Lingelser qui traverse la salle et monte sur scène. Les possédés d'Illfurth - Lionel Lingelser - Photo:
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